The outgoing president Jair Bolsonaro asked his supporters on Wednesday to unblock the routes of Brazil while cautioning against “legitimate manifestations”, at the end of a day where his supporters, massed in front of the places of command, called for an intervention. l’armée.
“Je vous lance un appel: débloquez les routes. Cela ne me paraît pas faire partie des manifestations légitiques”, a dit le dirigeant d’extrême droite, battu par Lula à la présidentielle, dans une vidéo diffused sur les réseaux sociaux, en reférence aux barrages mantenitus dans plus de la moitié des Etats, même s’ils étaiten moins nombreux que la eveille.
“D’autres manifestations qui se tienen dans tout le Brésil, dans d’autres endroits, font partie du jeu démocratique, elles sont les bienvenues”, he added.
Cette journée de mobilisation a été entachée par un épisode violent: sur un barrage routier près de Mirassol, dans lEtat de Sao Paulo (sud-est), an automobilist hit the demonstrators, faisant at least seven wounded according to the channel CNN.
Certain bolsonaristes se sont révéléd menaçants envers les journalists don une équipe de l’AFP, notably à Sao Paulo, où le nombre de demonstrators avait commencing à basser en fin d’après-midi.
Ces protests avaient lieu au lendemain de l’allocution de Jair Bolsonaro, ex-capitaine de l’armée nostalgic de la dictatorship militaire (1964-85), battu de peu à la présidentielle dimanche par l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva (2003-2010).
Il a rompu mardi un lourd silence de deux jours pour dire qu’il “respecterait” la Constitution et a donné le feu vert à la transition avec son successor de gauche Lula.
Mais il aussi delivered a message reçu comme un encouragement par ses soutiens: “Les manifestations pacifiques seront toujours bienvenues”.
According to him, elles sont “le fruit de l’indignation et d’un sentiment d’injustice concernant la façon don’t le processus éléctoral s’est déroulé”, une phrase reprise mercredi par son fils député, Eduardo Bolsonaro, dans une publication sur Instagram qui montrait une vue aerial de la manifestation à Rio de Janeiro.
– “Intervention federale” –
In Sao Paulo, thousands of bolsonarists manifest in front of the commandment militaire du sud-est, exigent une intervention de l’armée aux cris de “intervention fédérale tout de suite”, a connotado une journaliste de l’AFP-TV.
A similar demonstration in front of the army headquarters in Brasilia brought together thousands of protestors, according to a photographer from AFP, some chanting “civil resistance”.
Même scenario à Rio de Janeiro, où des thousands de demonstrators chantaient devant le commandement militaire: “Lula, voleur, ta place est en prison”, selon un journaliste de l’AFP-TV.
“On demande (…) une intervention militaire pour que notre payes ne devienne pas communiste”, a explição à l’AFP-TV Rodrigo da Mata, un vendeur de 41 ans, à Sao Paulo.
“Nous ne reconnaissons pas le résultat de l’élection parce que nous savons qu’elle a été frauduleuse. Comme tout ce que fait le PT”, ajoute-t-il au sujet du Parti des Travailleurs de Lula.
Des saluts nazis ont été filmed lors de manifestations dans l’Etat méridional de Santa Catarina.
According to the site d’informations UOL, des manifestations en faveur d’une intervention de l’armée ont eu lieu mercredi devant des bâtiments militaires de 11 Etats (sur 27) du pays.
“Ça ne sert à rien de pleurer, on a perdu la partie”, avait pourtant declarée au quotidien O Globo le vice-président Hamilton Mourao, qui souvent affiche son esprit d’indépendance par rapport au chef de l’Etat.
– Encore une centaine de blockages –
Le nombre de barrages routiers a noticeably baissé Wednesday: la police de la route fédérale (PRF) a répertorié une centaine de blockades encore en vigueur affecting 12 Etats, selon un bilan publié Wednesday evening. Au total, quelque 776 manifestations de cette nature ont été dispersées jusqu’à présent, at-elle précis.
Leur nombre a drastiquemente baissé à partir du moment où la police a commeinée à faire use de la force avec l’aval de Cour suprême, qui l’a exhortée à resort à “tous les moyens nécessaires” pour débloquere les chaussées.
“Nous ne pouvos pas utiliser les méthodes de la gauche, (…) qui empêchent la liberté de circulation”, avait dit mardi le president Bolsonaro.
A Sao Paulo les forces de l’ordre ont dû utiliser du gaz lacrymogène et des canons à water pour rétablier la circulation sur la route Castello Branco, principal ax routier liant le poumon économique du Brésil au center-ouest du pays, haut lieu de l ‘agronégoce.
Les barrages ont entrainment des difficulties d’approvisionement au Brésil, qui compte presque excludable sur le transport routier pour l’acheminement des biens et produits alimentaires.
La Confédération nationale des industries a averti dès mardi du “risque de pénuries et de manque de combustible” si les barrages routiers n’était pas rapidement levés.
Le site d’information G1 estimait pour sa part que 70% des supermarkets constataient déjà des ruptures d’approvisionement de certains produits.
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