Découverte il ya 150 ans dans un morceau d’ambre, cette grande fleur serait agee d’environ 35 million d’années. Elle serait un ancêtre des arbustes de la famille Symplocos qui peuplent aujourd’hui les forêts asiatiques.
Si les plantes à fleurs dominant aujourd’hui très widement le règne végétal, leur apparition a été plutôt tardive dans l’histoire de la Terre. Les angiospermes would appear en effet il ya environ 150 million d’années.
Étudier l’évolution des plantes à fleurs is nevertheless complicated, les fossiles de fleurs being relatively rare, peut-être à cause de la difficulty à preserver au cours du temps leur delicate structure.
La plus grande inclusion florale jamais découverte
C’est là que l’étude de l’ambre prend toute son importance. Au cours du temps, de nombreux organisms, souvent des insects, ont en effet été piégés dans ces gouttes de resine qui a les a ensuite préservés fidélément sur plusieurs dizaines de millions d’années. S’il est très fréquent de retrouver des arthropodsarthropods, les inclusions de plantes (feuilles, fleurs, pollenpollen…) sont cependant bien plus rares. De plus, les fleurs ainsi préservées are generally de petite taille et mesurent usually moins de 15 millimètres de large.
C’est pourquoi la découverte réalisée il ya 150 ans est si exceptionnelle. Nichée dans son carcan d’ambre, cette fleur de 28 mm de diamètre est ainsi la plus grande inclusion florale découverte jusqu’à présent. Décrit en 1872 comme appartant à Stewartia kowalewskii (Theaceae), le spécimen a été recently réanalysé et les résultats publiés dans la revue Scientific Reports.
Révision de l’espèce
Après avoir extrait et analysé le pollen piégé dans l’ambre, les scientifiques pensent que cette fleur serait plutôt en lien avec une autre espèce de plante, Symplocos, que l’on retrouve actuellement en Asie. La fleur serait ainsi le premier représentant identifique de l’espèce Symplocos kowalewskii. His age was estimated at 37,8-33,9 million years (fin de l’Éocène). Cette révision de l’espèce permet de supposer qu’un climat chaud et humide régnait sur la Baltique à cette époque, en comparaison des zones climatiques dans quelles se développement actuellement cette famille de plantes.
Pour les scientifiques, la préservation d’une fleur de cette taille serait à associer à l’habituelle quantité de résine ayant imprisonné le spécimen. Sa conservation exceptionnelle serait quant à elle expliquée par les proprieties biocides de la resine, évitant toute degradation par des micro-organismsmicro-organisms.
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