May 30, 2023

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garde à vue levée, le suspect presented à un juge d’instruction

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Alors qu’une marche blanche en hommage aux trois Kurdes tués à Paris vendredi sélancée dans la capitale française lundi 26 décembre, la garde à vue du principal suspect a été levé et il doit être prênt à un juge d’instruction.

La garde à vue du principal suspect dans la fusillade qui a tué trois Kurdes a été levée lundi 26 décembre. Il va être presented dans la journée à un juge d’instruction et sa mise en examen devrait intervenir dans la folée.

Une information judiciaire a été ouverte pour assassination et tentatives d’assassination en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion ainsi que pour acquisition, détention et port d’arme non autorisé.

Mobile racist

Le parquet demande que ce retraité de 69 ans soit placé en détention provisoire. Le mobile raciste du crime se confirme donc

Rappelons que lors de sa garde à vue, le suspect a reconnu ressentir une haine become pathologique des étrangers ». Pour autant, le parquet national antiterroriste ne s’est pas saisi de l’enquête car rien ne relie cet homme à un projet terroriste, selon le parquet.

Et lors de la perquisition au domicile de ses parents, ordinateurs et téléphone n’ont rien révélé sur de possibles de lien avec une ideologie extremiste.

Le retraité de 69 ans a ouvert le feu vendredi dans une rue du Xe arrondissement de Paris, tuant Mir Perwer, un chanteur kurde refugeié politique, et Abdurrahman Kizil, ainsi que la responsible du Mouvement des femmes kurdes en France, Emine Kara.

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Attaque à l’arme blanche dans un camp de migrants

Dès son interpellation, le suspect avait indicé avoir agi parce qu’il était « racist », as specified by a source close to the dossier.

Dans une autre affaire, le shooter présume a été mis en examen, nomentament pour violences avec arme à caractère raciste, soupçonné d’avoir blessé à l’arme blanche des migrants dans un campement parisien, le 8 décembre 2021.

Placé en détention provisoire pending un an, durée maximume prévé par la loi pour ce type de faits, il a été remis en liberté le 12 décembre.

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