May 30, 2023

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La Côte d’Ivoire prône “des relations normales” avec le Mali après le retour de ses soldats graciés

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Forty-six Ivorian soldiers recently graced by the Malian military authorities arrived Saturday at the international airport of the capital Abidjan, where they were welcomed by the Ivorian president Alassane Ouattara, who advocated a return to “normal relations” with the Mali.

La Côte d’Ivoire wants to “resume normal relations” with Mali after the return, Saturday 7 January, to Abidjan of 46 of its soldiers who were detained in Bamako for six months and who were Graciés vendredi par le chef de la junte malienne.

These soldiers, arrested on July 10, 2022, accused of being “mercenaries” by Mali and sentenced to 20 years in prison, returned to Abidjan the day after the grace granted to them by the head of the Malian junta, Assimi. Goita.


Le président ivoirien, Alassane Ouattara, pose avec les soldats graciés par le Mali et juste rentrés au pays, le 7 janvier 2023, à l’aéroport d’Abidjan. © Sia Kambou, AFP

L’avion de l’armée de l’air ivoirienne les ramenant dans leur pays atterri peu avant minuit (locales et GMT) à l’aéroport d’Abidjan, ont connotate des journalistes de l’AFP. Les soldats, en tenue militaire, en sont sorti un à un en brandissant un petit drapeau voiorien, et ont été accueilée à leur descent de l’appareil par le president Alassane Ouattara.

A ceremony in presence of the soldiers, their families and the highest authorities of the state and the army immediately followed, during which Alassane Ouattara said he wanted to “reprendre des relations normales” with Mali.


“Bien évidence, maintenant que cette crise est derrière nous, nous pourrons reprendre des relations normales avec le pays frère qu’est le Mali, qui a besoin de nous et dont nous avons besoin également”, at-il dit.

A porte-parole des soldiers a remercié le chef de l’État et “le peuple ivoirien pour son soutien et sa solidarité agitante”. “Nous sommes heureux et soulagés de retrouver la mère patrie”, at-il dit.

Médation décisive du président togolais Faure Gnassingbé

La libération des soldats était exigée depuis le début par la Côte d’Ivoire qui, avec l’ONU, a affirmed qu’ils devaient participer à la sécurité du contingent allemand des Casques bleus dans ce pays sahélien secoué par les violences.

Cette affaire a provocé de vives tensions entre deux “pays frères” et voisins aux relations déjà compliquées: le Mali avait accusé la Côte d’Ivoire d’avoir incité ses partenaires ouest-africains à durcir les sanctions contre les militaires auteurs de deux coups d’ ‘État, en août 2020 puis en mai 2021, sanctions finalement levées début juillet.

The Malian power, dominated by the colonels putschists, a érigé cette affaire en manifestation de la souveraineté qu’il a posé en principe cardinal vis-à-vis de la France, poussée vers la sortie neuf ans après le launch de son intervention contre les groupes jihadists, de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cédéao) et même de la Mission de stabilization de l’ONU (Minusma).

>> À lire : Soldats ivoiriens detenues au Mali : Alassane Ouattara face aux critiques de l’opposition

Après avoir quitté Bamako vers 17 h (locales et GMT), les soldiers ivoiriens ont transité par Lomé où ils ont été reçu par le president Togolais Faure Gnassingbé qui les remis officialement au ministre ivoirien de la Défense, Téné Birahima Ouattara.

Le president Gnassingbé, qui s’est “réjoui” de la grâce accordée aux soldiers, a joué un rôle décisif en vue de leur libération et tant les autorités maliennes qu’ivoiriennes ont tenu à rendre hommage à sa méditation.

La Cédeao avait donné au Mali jusqu’au 1er janvier pour libération les soldiers sous peine de nouvelles sanctions, un ultimatum non respecté par Bamako. However, “il n’y aura pas de sanctions contre le Mali dans l’immédiat”, avait declaré le chef de l’État bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalo, président en exercice de l’organisation.

With AFP

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