Face à l’inquietude grandissante sur l’état de santé du détente politique égypto-britannique Alaa Abd El-Fattah, sa famille tente, par tous les moyens, d’obtenir une preuve de vie du blogger prodémocratie en danger de mort après sept mois de grève de la faim.
« I already submitted a request [de grâce présidentielle] en juin et, aujourd’hui, j’en ai soumis une nouvelle pour réaffirmer mon engagement en faveur de toute voie légale pour régler le sort de mon frère »a declaré, vendredi 11 novembre, on Twitter, Mona Seif, l’une des sœurs d’Alaa Abd El-Fattah, le détente politique le plus célèbre d’Egypte qui a passé l’essentiel des neuf dernières années en prison.
Depuis plusieurs jours, ses proches disent redouter qu’il ne soit nourri de force après sept mois à n’avaler qu’un verre de thé et une cuillère de miel par jour avant de cesser de manger il ya une semaine puis de boire, dimanche , à l’overture de la COP27 à Charm El-Cheikh.
La famille d’Alaa Abd El-Fattah répète qu’elle ne sera rassurée qu’une fois qu’il aura été vu par un représentant de l’ambassade britannique ou par l’un de ses proches. Jeudi, l’autorité pénitentiaire a announcement avoir fait administré au détente de 40 ans un « medical treatment » et le parquet a ensuite affirmed qu’il était «en bonne santé».
Sa mère puis l’avocat d’Alaa Abd El-Fattah éconduits de la prison
Sa mère, Laila Soueif, s’est rendue quatre fois cette semaine à la prison de Wadi Natroun où son fils est détente, à 100 kilometers au nord-ouest du Caire, mais a été à chaque fois éconduite. Jeudi, son avocat Khaled Ali a lui aussi dû rebrosser chemin : son permis dûment delivered by the parquet a été jugé irreceivable par l’autorité pénitentiaire car dated de la eveille. Me Ali n’avait pas reçu de permis depuis près de trois ans. Il a été convoqué pour venir le chercher après une intense journée de mobilization pour Alaa Abd El-Fattah à la COP27.
L’autre sœur d’Alaa Abd El-Fattah, Sanaa Seif, ya tenu deux conférences de presse très suivies. Several occidental leaders, including the German chancellor, Olaf Scholz, and the United Nations High Commissioner for Human Rights, Volker Türk, have called for the liberation of the Egyptian president, Abdel Fattah Al-Sissi.
Sanaa Seif called the UN to organize a new press conference in Charm El-Sheikh « Qu’elle puisse demander une grâce présidentielle pour son frère »a fait savoir vendredi soir Me Ali sur Facebook.
Lors de sa première conference à la COP27, Sanaa Seif, ellemême ancienne detenite politique, avait été prise à partie par un député pro-Sissi, rapidemente expulsé par les services de sécurité de l’ONU – ce qui a provocateur une levée de boucliers de l’establishment en Egypte.
Un groupe d’experts indépendants travailant pour l’UNU a exhorté Le Caire à libre le détente égypto-britannique. « The imprisonment of Alaa Abd El-Fattah et son calvaire ne peuvent pas devenir l’image de la COP27 »ont-il advanced.
Biden rencontre le président égyptien Al-Sissi
Friday, c’était au tour du président américain, Joe Biden, de s’addresser aux 40 000 participants à la COP27. Quelques heures avant la demande de grâce présidentielle formulated by Mme Seif, le président américain a rencontre son homologue égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, et « a soirrein l’importance des droits de l’homme et du respect des libertés fundamentales ». M. Biden a également salué, à ses côtés devant la presse, la réactivation de la commission des grâces présidentielles en avril dans le pays, dont la mise en sommeil depuis plusieurs années était régulémente pointée du digitt par les défenseurs des droits humains.
In September, this commission allowed the liberation of 766 political detainees, according to Amnesty International. L’ONG ajoute toutefois que sur la même period, 1 540 Egyptians ont été incarcerés pour délit d’opinion – pour certains tout juste libérés par décret présidentiel.
Depuis que l’ancien maréchal Sissi a pris le pouvoir en 2013 en renversant le president Islamiste Mohamed Morsi, la répression, d’abord des islamistes, a muselé l’ensemble de l’opposition et de la society civile, tandis que les médias indépendants se faisaient de plus en plus rares.
Appel à manifester puis arrestes
Les réseaux sociaux, eux, peuvent s’avérer dangereux, comme près de 200 Egyptiens déférés à la justice militaire viennent d’en faire les frais, selon les ONG. Alors qu’un mystérieux appel à manifester vendredi apparaissait en ligne il ya trois semaines, les arrests ont débuté.
Friday, la police quadrillait le center du Caire, où se trouve la place Tahrir, épicentre de la « révolution » de 2011 dont Alaa Abd El-Fattah est devenu l’une des ïcônes. Des hommes en civil fouillaient les téléphones de jeunes à moto ou de passants, tandis que leurs collèges en uniforme barraient certaines rues.
Aucun manifestant n’est finalement sorti mais des camions de police étaiten stationnés sur les ponts menant au center de la megalopole de plus de 20 million d’habitants, tandis que les ridesaux des cafés restaient baissés.
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