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Alors que le président sud-africain Cyril Ramaphosa est sous pression pour une prise de parole « imminent », les cades de son parti Congrès national africain (ANC) ont convoqué une réunion « d’urgence » vendredi 2 décembre. Cela pour débattre du rapport suspectonnant le president de possibles « violations et des fautes » après la découverte d’importantes sommes d’argent chez lui. S’il pourrait être destitué, le moment est aussi délicat pour l’ANC, qui doit choisir un nouveau leader.
Ce rapport paraît alors que le parti du président sud-africain prepare un rdv important : mid-décembre, le poste de président de l’ANC est à nouveau en jeu et le parti connaît des dissensions en interne. Le ou la titulaire serait susceptible d’être à la tête de l’État sud-africain à l’issue des élections générales de 2024 si l’ANC reste majoritaire.
All day on Thursday, Cyril Ramaphosa consulted within his party, according to his spokesperson Vincent Magwenya. Serait à l’étude « un certain nombre d’options dans le meilleur intérêt du pays ».
Est-ce que l’option de la demission est sur la table? Est-ce que le président sud-africain – Elected in 2018 notably sur la promesse de lutter contre la corruption – risquera de voir le Parlement étudier l’hypothese d’une procédure de destitution mardi prochain?
The premier parti d’opposition, DA, calls for early elections.
Le président sur la sellette depuis juin
Le chef de l’État est soupçonné de corruption et de violation de la Constitution depuis le mois de juin dans une affaire de dissimulation d’une importante somme d’argent dont l’origine est suspecte. Plus de 500 000 dollars en liquide avaient été découverts par des cambrioleurs en 2020 fans sa ferme à bétail appelé Phala Phala.
In front of the commission mandated by the Parliament, Cyril Ramaphosa presented his version: the money came from the sale of buffaloes to a Sudanese client and the cushions on the canapé from the friend’s room looked more secure than the safe. , according to an employee.
Mais Il est reproché au president de n’avoir declaré l’incident neither à la police, nor à l’administration fiscale.
Le porte-parole du president refuses to comment on his agenda des prochaines jours
Face à l’affaire, l’avenir de Cyril Ramaphosa sécrit nouvelles en pointillés et son porte-parole se refuse even de commenter l’agenda du president pour les prochaines jours, rapporte notre correspondent à Johannesburg, Romain Chanson.
Quand le media News24 évoque une très probable demission du chef de l’État, le porte-parole admit que « All options are on the table ». La publication mercredi du report de la commission d’enquête indépendante sur l’affaire vient ébranler la presidente: « C’est une situation sans précédent dans l’histoire de la démocratie sud-africaine » underlines Vincent Magwenya, une situation qui necesita de ne pas reagir à la hâte ou dans l’émotion, dit-on à la presidency.
En attendant, Cyril Ramaphosa consulte à tout va, notably les cadres de son parti.
Mardi 6 décembre, le Parlement doit débattre du report de la commission d’enquête et l’Assemblée nationale pourrait la voie à une procedure de destitution. Cyril Ramaphosa sera-t-il demissionnaire, destitué au défensif ?
Le chef de l’État devrait faire « une annonce imminente », a répété Vincent Magwenya, pour dire à quoi ressemblera son avenir.
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