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Nia-Ouro, a village located near Sofara, in the region of Mopti, in the center of Mali, is at the heart of an anti-terrorist operation by the Malian army since Sunday. Opération pour laquelle les soldats maliens sont accompagéd de leurs supplétifs russes et de chasseurs traditionnels dozos. Les nombreuses locales sources jointes par RFI ont rapporté des cases d’agressions sexuelles et even de viols. Ce judi, le village reste occupé par les militaires maliens.
Ils vont et viennent dans le village, de sorte que leur nombre varie, mais les militaires maliens, leurs supplétifs russes et les chasseurs traditionnels dozos qui les accompanient maintinenn une présence permanente à Nia-Ouro. Certain sources parlent même de « base temporaire de l’armée ».
Mais les habitants, eux, ont presque tous quitté le village. Les hommes avaient fui avant l’arrivée des Fama, dimanche matin. Après que certaines d’entre elles ont été forcées par les supplétifs russes de l’armée de se déshabiller, agressées sexuelement, voire violées, les femmes sont à leur tour parti se mettre à l’abri, avec leurs enfants, dans des villages voisins ou dans les champs et forêts alentours. Après un temps d’errance et d’urgence, beaucoup d’habitants de Nia-Ouro ont finalement trouvé refuge à Sofara.
Charrettes et pickups
Selon les témoignages, aucun mort ne serait à déplorer. En revanche, les pillages ont été massifs : les chasseurs traditionnels dozos ont fait venir charrettes et pickups pour emporter tout ce qu’ils pouvant : bétail, céréales, meubles, motos. Les bijoux et l’or ayant déjà été dérobés par les supplétifs russes de l’armée. Les chasseurs dozos auraint également menacé d’incendier le village, sans passer à l’acte.
On Tuesday evening, the Malian army confirmed in a communiqué that it would proceed with research operations in the sector, ayant permis de neutraliser deux « terrorists » et d’interpeler plusieurs suspects. De sources locales, certains ont été libérés, mais la plupart serait toujours détente. L’armée, qui assure agir « avec professionnalisme dans la zone », affirme disposer de renseignements précis sur la présence de combattants jihadistes.
The sector of Sofara est depuis severales années la cible d’attaques meurtrières de la Katiba Macina du Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (Jnim) lié à Aqmi. Des attaques qui sustigente le désarroi des populations.
Nia-Ouro serait ainsi considered par l’armée comme un repère jihadiste. En dépit des solicitations de RFI, neither l’armée malienne nor le ministère malienne de la Défense n’ont desirée apporter de précisions supplémentaires depuis le communiqué de mardi soir. Dans ce communiqué, l’armée malienne denonçait également « les propagandes, l’intox et la désinformation des terrorists et de leurs accomplices acculés dans leurs entrenchements ».
Minusma empêchée
De source unusienne, la Minusma a déjà ouvert une enquête sur les allégations d’exactions commises à Nia-Ouro, mais elle se heurt au refus des authorities de la laisser se rendre sur les lieux. Depuis le début de l’année, les allégations d’exactions portées contre l’armée malienne et ses supplétifs se sont multipliés. The Malian authorities announce the opening of investigations in a systematic way, but refuse to access the sites concerned in a systematic way to the UN mission.
►À lire aussi : Au Mali, l’armée et ses supplétifs accusés de viols et de pillages à Nia-Ouro
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