May 30, 2023

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Le procès renvoyé au 4 octobre

AA / Peter Kum

Le procès des événements douloureux du 28 septembre 2009 en Guinée, qui s’est ouvert mercredi 28 septembre au tribunal de Dixinn à Conakry, a été renvoyé au mardi 4 octobre prochain.
A l’ouverture du procès, mercredi, les onze accusés ont défilé à la barre où ils ont decliné leurs identités et ont été notifé des faits pour lesques ils sont poursuivis.

A noter que sur les 12 accusses, 11 étaiten présents à l’audience de mercredi à savoir Cécé Raphaël Haba, Marcel Guilavogui, Claude Pivi, Moussa Tiégboro Camara, Ibrahima Camara, Aboubacar Diakité dit Toumba, Blaise Goumou, Moussa Dadis Camara, Mamadou Aliou Keita, Abdoulaye Chérif Diaby et Paul Mansa Guilavogui.

Dans le souci de coopérer pleinne pour la tenue effective et la réussite du procès des massacres du 28 septembre 2009 qui démarré le mercede 28 septembre, la République de Guinée et la Cour pénale internationale (CPI) ont signe un protocole d’accord.

Cet accord qui a été signé par le prosecutor de la CPI, Karim Khan et le president de la transition de la Guinée, le colonel Mamadi Doumobouya, porte inter autres sur le respect de la charter de la transition en vigueur en Guinée, l’assistance technique de la CPI au procès du 28 septembre et le partage des informations entre lÉtat guinéen et le bureau de la CPI sur l’évolution des audiences de ce procès.

Dans un communiqué publié mercredi, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), l’Organisation guinéenne des droits de l’homme et du citoyen (OGDH) et l’Association de victimes parents et amis des événements du 28 septembre 2009 (Avipa ) ont salué l’ouverture du procès et ont exhorté les authorities guinéennes à mener « un procès équitable, impartial et transparent, respectueux des droits de toutes les parties ».

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Le 28 septembre 2009, lors d’une manifestation contre le projet du chief de la junta militaire à l’époque, Moussa Dadis Camara, de se présenter à l’élection présidentielle, around cinquante thousand personnes se sont regroupées au stade de Conakry.

Cette demonstration a été durement réprimée par l’armée causant « plus de 150 morts, des centaines de blessées, de nombreuses victimes de crimes sexuels et de disparitions forcées », a soirène l’ONU dans un report.


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