Macron annonce que la France travaillera “avec bonne volonté” avec le futur Prime Minister italien

The president spoke after the proposals of the minister Laurence Boone. Celle-ci affirmait que Paris serait “très vigilant” sur le respect de l’Etat de droit en Italie après l’accession au pouvoir de Giorgia Meloni.

La France travaillera “avec bonne volonté” avec le future Prime Minister italien qu’il soit, declarée ce vendredi le presidente Emmanuel Macron, après que la dirigeante post-fasciste Giorgia Meloni judged mal venus les commentaires d’une de ses ministers. .

“Qui que ce soit que le president (Sergio) Mattarella nomme (…) la France travaillera avec bonne volonté, exigence pour faire avancer le projet européen dans lequel nous creyons”, launched Emmanuel Macron, à l’issue d’un European summit in Prague.

“Nous prenons les dirientes que les peuples de chaque pays nous donnent et notre devoir c’est, autour de la table, de faire avancer l’Europe, de manière la plus juste, la plus efficace (…) en veillant à respecter tous nos principes, tous nos objectivees, toute notre ambition”, added the head of state.

Craintes de voir reculer les droits civiques

Giorgia Meloni a denoncé ce vendredi une “menace unacceptable” après les déclarations de la minister française Laurence Boone affirmant que Paris serait “très vigilant” sur le respect de l’Etat de droit en Italie.

The coalition of Giorgia Meloni disposes of the absolute majority aussi bien à la Chambre des députés qu’au Sénat.

Avec l’arrivée au pouvoir de partis defendant les “valeurs familiales et traditionnelles”, les militants des droits civiques craignent un recul significantif des droits, de l’avortement au mariage de personnes de même sexe.

Emmanuel Macron salutes Mario Draghi

The president Macron has from his side tressé des lauriers au president du Conseil italien outgoing and ex-president de la Banque centrale européenne Mario Draghi. “Je veux dire le bonheur de chaque jour que j’ai de collaborer avec mon ami Mario Draghi”, he stressed.

“Il n’y a jamais eu un jour où nous n’avons pas appris l’un de l’autre, en tout cas où je n’ai pas appris de lui plus modestement, et où nous n’avons pas été heureux de travailler ensemble”, a dit le chef de l’Etat.

“Je lui dois beaucoup et je pense que c’est une immense chance pour l’Italie et l’Europe que ces années où il a été en charge”.