Manifestation à Charm el-Sheikh pour la libération du prisonnier politique Alaa Abdel Fattah

“Libérez les tous” et “pas de justice climatique sans droits humains”, ont de chanté Saturday des centades de militants à la COP27 de Charm el-Cheikh en Egypte autour de la seeur du detain égypto-britannique politique Alaa Abdel Fattah, en danger de mort après sept mois de grève de la faim.

Pour la plus grande manifestation à l’intérieur même de la “Zone bleue” où ont lieu les négotiations, la crowde défile entre les pavillons officiels à Charm el-Cheikh. Parmi les orateurs se trouve Sanaa Seif, la soeur d’Alaa Abdel Fattah. Elle a déjà organizée deux conférences de presse remarquez à la COP27 le 8 novembre. À chacune d’elles, elle avait été prise à partie par des responsibles égyptiens proches des authorities, affirmant que son frère n’était pas un “détente politique“but one”criminel“.

“Je suis sure que les puissants pensaient que je ne serai pas entendue mais je trouve ici une famille qui m’attend (…) venue du monde entier“, lance un militant, lisant un communiqué de Sanaa Seif devant la crowde.

Un bras de fer avec les autorités pénitentiaires

Son frère, blogueur pro-démocratie devenu icône du Printemps arabe, a durci dimanche son bras de fer avec l’autorité pénitentiaire, qui retient selon les ONG 60000 détenues politiques en Egypte. A l’overture de la COP27 dimanche 6 novembre, il a cessé de boire après sept mois passé à n’ingérer que 100 calories par jour. Depuis, sa famille qui le dit en danger de mort multiplie les appeals à la communauté internationale, et à Londres en premier lieu puisque tous les members de la famille ont un passport britannique.

Après que severales occidentaux leaders have evoked their case with the Egyptian president Abdel Fattah al-Sissi, the last one in date being the American president Joe Biden vendredi, the family of the prisoner has changed its strategy. Le 11 novembre au soir, son avocat et son autre soeur, Mona Seif, ont annoucement avoir formalment déposé une nouvelle demande de grâce présidentielle, highlighting notamente qu’Alaa était “le seul homme de la famille after the death of his father“, grand avocat des droits humains, il ya sept ans, et que son fils, “atteint d’autisme avait perdu la parole” depuis sa dernière arrest.

Ces arguments semblent avoir porté puisque l’un des présentateurs de talk-shows les plus influents du pays, Amr Adib, grand partisan d’Abdel Fattah al-Sissi, plaidait dès vendredi soir pour une grâce “car il faut voir l’intérêt de l’Egypte avant toute chose“.