May 30, 2023

The Political Chronicle

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Manifestations anti-junte à Conakry, des blessés et arrestes selon les organisateurs.

Des heurts ont mis aux prises de jeunes Guinéens et les forces de sécurité jeudi dans la banlieue de Conakry, faisant une vingtaine de blessés, a indicé le collectif interdit qui appelé à manifester contre la junta au pouvoir.

Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC) qui a appelé à la mobilisation a dit dans un communiqué deplorer “une vingtaine de personnes woundedes dont certaines par des tirs à balles réelles, (et) de nombreuses arrestes”.

Aucune confirmation de ces informations n’a été obtenune d’autre source.

Le FNDC, officiellement dissous par la junta, avait appelé à manifester pacifiquement judi à Conakry, puis le 26 octobre dans all le pay, pour réclamer un retour rapide des civilians à la tête du pay, ainsi que la libération des prisonniers éténetes selon lui pour des raisons politiques.

Le FNDC est la dernière organization à mobiliser, mais a reçu le soutien des principaux partis, réduits à l’inaction.

La banlieue de Conakry et la route Le Prince qui la traverse sont traditionnellement le théâtre de la contestation. Local media reported confrontations in different neighborhoods during the day.

Des dizaines de pick-ups de police et de gendarmerie ont été stationnés le long de cet axe. Des jeunes ont cependant brûlé des pneus et renversé des poubelles sur la route, désertée de tout trafic.

De nombreuses boutiques ont gardé porte close en banlieue ou sur les grands marchés de Madina et Bonfi.

A Kagbelin et Kountia, autres zones de la banlieue, des manifestants se sont attacés à de rares véhicules conduits par des civilians to which they accused, selon des témoins, de n’avoir pas suivi l’appel à la protestation.

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Le FNDC avait été à l’origine de manifestations les 28 et 29 juillet, le 17 août, et les 5 et 6 septembre. Cinq personnes avaient été tuées en juillet, et deux en août.

Le colonel Mamady Doumboya qui a pris le pouvoir par la force en septembre 2021 s’est depuis fait investir president et s’est engagé à remettre le pouvoir à des civilians élus dans un délai de trois ans.

L’opposition accuses the junta of confisquer le pouvoir et de faire taire toute voix discordante à coup d’arrests de leaders politique ou de la société civile, et d’enquêtes judiciaires.

Ces manifestations ont lieu alors qu’une mission ouest-africaine se trouve cette semaine en Guinée.

Le 24 septembre, l’organisation ouest-africaine a donné aux autorités un mois pour proposer un nouveau calendrier de retour des civilians au pouvoir under penalty of “sanctions plus sévére” que celles déjà imposés.