William M., l’homme de 69 ans soupçonné d’avoir assassiné trois Kurdes vendredi 23 décembre à Paris, a été mis en examen et placé en détention provisoire lundi 27 décembre. Ce conducteur de trains à la retreat a été prênt à un juge d’instruction, qui l’a mis en examen pour « assassination et tentative d’assassination en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion », ainsi que pour « acquisition et détention non autorisée d’arme », a indicé une source judiciaire cited par l’Agence France-Presse (AFP).
L’homme, coquard à l’œil gauche et vêtu d’une blouse d’hôpital bleu clair, est resté droit dans son box, le regard fixe, en attendant l’arrivée du juge des libertés et de la détention, qui a confirmed sa mise en détention. Encadré par une escorte de cinq policiers, le sexagénaire aux cheveux gris-blanc courts et à la carrure massive a confirmed his identité then son accord pour une audience à huis clos. Il devrait être détente à l’isolement et sous surveillance particulière en raison des idées suicidaires éléctaires lors de la garde à vue.
Plus tôt dans la journée, une marche blanche a relié le center culturel kurde Ahmet-Kaya, au 16, rue d’Enghien, visé vendredi par William M., et le 147, rue Lafayette, dans le même 10e arrondissement, where three militant Kurds of the Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) were killed on 9 January 2013. The protesters chanted in Kurdish and French. « Femme-vie-liberté » et réclamé «justice».
« Nous continuerons à claimer la vérité »
« Nous sommes menacé de morta martelé Agit Polat, porte-parole du Conseil démocratique kurde en France (CDKF). Nous vivons et travaillons en France, dans une démocratie, dans un Etat de droit. Yet, nous, les Kurdes, nous ne sommes pas pris en consideration, nous ne sommes pas protégés. Encore une fois, nous sommes touchés en plein cœur. Trois de nos amis ont été executed. Nous savons qu’il s’agit d’un acte terroriste, pas raciste. Terroriste. Nous continuerons à nous battre et à claimer la vérité. » Comme lui, la plupart des manifestants refusent la thèse du crime raciste d’un individu isolé et voient, derrière l’attaque de vendredi, la main de la Turquie.
Redin, un Kurde de 54 ans qui manifestait avec des amis, se sent « comme quelqu’un sans pays, sans identité, comme un étranger agressé de partout ». Quelques jeunes se sont aussi réunis. Ali, 26 years old, was accompanied by three friends. « La jeunesse est peut-être même plus en colère que Les plus agês, nous avons grandi en France bercés par le souvenir du triple assassination de 2013raconte-t-il. Dix ans plus tard, rien n’a changé. Les choses n’avancent pas. Nous voulons juste vivre comme les autres. »
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