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Le deuxième sommet États-Unis Afrique s’est ouvert ce mardi 13 décembre à Washington. The leaders of the 49 countries are invited to meet and exchange for three days. L’administration Biden souhaite une discussion la plus large possible.
Avec notre correspondent à Washington, Guillaume Naudin
The leaders of 49 countries are invited and the département d’État insists that even the countries with which they have relations are not invited. Il s’agit de pouvoir se dire les choses en face dans le respect.
La liste des pays qui ne sont pas là correspond à ceux qui sont suspended par l’Union africaine pour cause de coups d’État militaires. C’est le cas du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso et du Soudan. S’y ajotent l’Érythrée et le Sahara occidental qui n’ont pas de relations diplomaticiques avec les États-Unis.
Tous ces dirientes vont avoir l’opportunité de discuter avec les États-Unis et aussi entre eux, un certain nombre de rencontre bilaterales sont prévés.
Les thèmes de discussion sont également très larges. Rien que ce mardi, étaiten prévus des forums sur la cooperation spatiale, la santé, le changement climatique, la paix et la sécurité ainsi que la governance.
Ce mercredi, on parlera économie, puisk’un forum des affaires est prévé avec une première intervention du presidente Biden. C’est jeudi qu’il recevra les dirientes présents à la Maison Blanche.
►À relire : Ouverture du summit États-Unis/Afrique en présence d’une cinquantaine de chefs d’État
L’intérêt géopolitique de l’Afrique
With this summit, the message addressed by Washington is already an important change in relation to the previous administration that neglected the continent, quand elle ne méprisait pas ouvertement certains pays.
Pour l’administration Biden, l’intérêt géopolitique de l’Afrique est d’abord pour elle-même, car elle doit faire face à des conflits et à des tensions très importantes. Au center du continent, à la frontier du Rwanda et de la RDC et au Sahel, face à la menace jihadiste.
Dans cette zone, les États Unis cooperate militairement avec la France en providenissant du renseignement par leurs drones. But France has left Mali and its presence in Burkina Faso is remise en question. Les États-Unis doivent s’adapter à cette nouvelle donne et ce sommet peut contributor à trouver des solutions.
L’administration américaine admet aussi que l’influence russe sur le continent à travers le groupe Wagner est une source de préoccupation. Tout comme celle de la China. Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a mis en garde les dirientes Africans contre le rôle « destabilisateur » de ces deux pays. « As for China, we find that it extends its footprint on the continent daily (…) et cela pourrait avoir un effet destabilisateur », tandis que la Russie « Envoie des arms et des mercenaires », said Lloyd Austin.
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