AA / Kinshasa / Pascal Mulegwa
L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), s’est dite “très preoccupée” par la recrudescence des violences intercommunautaires meurtrières qui ont entraîn le déplacement de près de de 30 000 personnes depuis juillet et cause de la mort de more de de 140 personnes dans la localité de Kwamouth (180 selon le gouvernement), dans l’ouest de la République démocratique du Congo.
Les affrontements aurain éclaté à cause de taxes coutumières sur l’utilisation des terres agricoles entre les communautés Teke et Yaka du territoire de Kwamouth dans la province de Mai-Ndombe.
« Quelque 27 000 personnes, dont la plupart sont des femmes et des enfants, se sont déplacedes à cause des violence et ont besoin d’une aide d’urgence dans les provinces de Kwilu et Mai Ndombe », a declarée Angele Dikongue-Atangana, Représentante du HCR en RDC.
Par ailleurs, « 2600 people have sought refuge in the Republic of Congo [Brazzaville, NDLR] après avoir traversé le fleuve Congo en pirogue. Nombre d’entre elles ont été séparées des members de leurs familles au cours de leur fuite », at-elle added.
« Les fortes pluies ont rendu plus complexe la mise en sécurité des civilians, et plusieurs routes clés sont devenues impracticables pour les véhicules humanitaires apportant une aide vitale », she declared.
Pour l’agence unusienne based in Geneva, the government negotiated with the local chiefs and deployed the Congolese army in Kwamouth to restore order, but « the security situation remains tendue ».
L’agence rapporte que de nombreuses familles qui vivaient à Kwamouth et dans les villages environnants ont quitté la région car le conflit s’étendait rapidement.
Elles ont marché pendant des jours avant de trouver refuge à Bandundu, la capitale de la province du Kwilu, à 245 kilometers de la ville de Kwamouth. La ville de Kwamouth et plusieurs villages environnants are now partially abandoned.
La moitie de ceux qui sont arrivés au Congo-Brazzaville, d’après le HCR, ont été acquiélié par des familles d’accueil et sont congon à la promiscuité, alors que d’autres vivent dans la précarité, dormant en plein air, tandis que d’autres ont construit des abris de fortune.
Le gouvernement a pour sa part affirmed que la situation était calme après des opérations de « ratissage ».
Kinshasa has denounced a « main black » derrière les violences qui ont fait plus de 180 morts selon le décompte des autorités.
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