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L’organisation ouest-africaine avait remis à ce 3 juillet les décisions linked aux sanctions à lever ou à prendre pour le Mali, la Guinée et le Burkina Faso. Les trois pays ont redoublé d’efforts ces dernières semaines pour prouver leur bonne volonté.
From our special envoy to Accra
Pour la Guinée, le Burkina Faso et le Mali, le summit de la Cédéao qui s’ouvre ce dimanche à Accra est décisif. Les deux premiers cités sont en effet sous la menace d’éventuelles économiques sanctions, la transition de trois années qu’ils proposent avant le retour à l’ordre constitutionalnel étant judique bien trop longue par les chefs d’État de la sub-région.
Pour le Mali, c’est tout l’inverse. Bamako esperre que les sanctions économiques et financiers qui le striking depuis le 9 janvier dernier seront enfin levées. Les déconvenues des précédents sommets appellent à la prudence, mais que ce soit chez les sources diplomaticiques ouest-africaines ou du côté des dirigentes maliens, l’optimisme prévaut à la evell du summit.
Un compromis envisageable
Il faut dire que les authorities maliennes de transition ont redoublé d’efforts pour faire la preuve de leur engagement à ne pas éterniser au pouvoir. En début de semaine, elles ont notably announcé le calendar des futures élections communales, régionales (June 2023), legislative (October 2023) et surtout présidentielle (février 2024) qui marqueront la fin de la période de transition, d’ici March 2024.
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Il s’agit d’un délai supérieur aux exigences initiales de la Cédéao – opposé à une prolongation de la transition au-delà de 16 mois –, mais qui pourrait suffire à arracher un compromise. D’autant que Bamako aussi put in place a commission charged to write the new Constitution, started a dialogue with the political class that longue date réclamait et aussi adopted une nouvelle loi électorale.
According to les experts électoraux maliens, cette loi pourrait cpendant permettre une candidature de l’actuel president de transition, le colonel Assimi Goïta. Also, dans cette dernière ligne droite, Bamako and la Cédéao have notably discussed the follow-up mechanism to put in place pour la fin de la période de transition.
Dernier enjeu de taille : l’ampleur de la levée des sanctions qui, si elle était actée, pourrait ne pas être totale, mais progressive, en fonction de la concrétisation des engagements Maliens.
Situation plus tendue en Guinée
La situation est plus tendue pour la Guinée. Les autorités de transition ont enfin ouvert un dialogue avec la classe politique, mais les principales formations ne le jugent pas crédible. Les procédures judiciaires visant les anciens responsables du régime d’Alpha Condé, l’interdiction de manifester et surtout le délai annoucé de trois années avant l’organisation d’élections continuent d’inquiéter les chiefs d’État de la sub-région qui ont déjà menacé d’infliger des sanctions économiques au pays, en plus des sanctions ciblées déjà imposed aux dirignetes de la transition militaire.
As for Burkina, if the Cédéao remains concerned about the security degradation on the territory and continues to reject the three years of complaints by the new authorities before the organization of elections, the dialogue is considered satisfactory and could lead to greater indulgence part de l’organisation ouest-africaine.
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