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Après la cérémonie d’ouverture samedi dernier et un report de quelques jours, les travaux du dialogue national inclusive et souverain doivent redémarrer ce mercredi 24 août dans l’après-midi. Jusqu’à la fin de la semaine, les participants vont d’abord s’atteler à mettre en place les instances du dialogue, avec l’adoption d’un règlement intérieur et l’installation d’un présidium. Parmi les quelque 1 400 participants, on compte des organizations de la société civile. Elles ont déjà pris des dispositions pour effecteur une veille permanente de ce dialogue, afin de faire entender en temps réel leurs propositions pour la suite de la transition.
Avec notre envoyé spécial à Ndjamena, Sidy Yansané
Just après l’installation du Conseil militaire de transition à la tête du pays l’an dernier, plus de 80 acteurs de la société civile ont lânz des réflexions sur le role à tenir durant cette period. En est ressortie la création d’un Observatoire citoyen de la transition, dont le but est d’operér une veille permanente pour alerter sur les éventuals manquements relevés pending le dialogue national inclusif et souverain.
Abderamane Ali Gossoumian, le coordinator national du Comité de suivi de l’appel à la paix et la réconciliation, explique que cette evell « va suivre quotidiennement les débats qui seront retransmis en direct à la télévision nationale pour essayer de noter les points importantes et faire des propositions qui poignant être transmisses à nos collèges qui sont dans la salle. »
The dispositif will allow the CSAPR to soulever concrete proposals, on the same transition. Par exemple, la nécessité d’impliquer la population tchadienne dans les débats. « Beaucoup de Chadiens ont des problèmes de survie, rappel Abderamane Ali Gossoumian. Avec l’inundation de la ville de Ndjamena, ils sont oblige de passer des nuits dehors. Comment voulez-vous qu’ils s’interessent à ce processus politique ? Il n’est pas question de privilegier que des questions politiques, mais des questions de développement de manière générale. »
Les autorités militaires s’était engagées à achever la transition en octobre prochain. Un délai irrealiste pour la tenue d’un dialogue véritablement constructive, selon le réseau d’organisation de la société civile, qui soutinet une prolongation de la période, tant quelle fait l’objet d’un consensus général.
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