AA / Peter Kum
Le Front national pour la défense de la Constitution (FNDC), a coalition of parties, syndicats et organizations de la société civile, a denoncé, mercredi, dans un communiqué, sa dissolution par la junte guinéenne.
The FNDC affirmed to maintain its demonstration planned for 17 août dans le pays and denounced its ban as an “illegal decision, sans foundation and arbitrary”.
« La pretendue décision illegale, sans fondement et arbitraire, de dissoudre le FNDC témoigne de la volonté (de la junta) de faire de l’intimidation, du harcèlement et donc de la tyrannie les levers suprêmes de la transition », stressed the FNDC dans son communiqué.
The movement, founded in April 2019, called “tous les citoyens à une mobilisation internationale et nationale en compagnant les manifestations du 14 août en Belgique et du 17 août sur toute l’étendue du territoire national”.
« Exigeons pacifiquement et de manière citoyenne le retour rapide à un ordre constitutionnel. Mobilisons-nous, massivement, pour faire échec à la pérennisation d’un régime militaire en Guinée », a plaidé le FNDC.
L’organisation a, par ailleurs, appelé « les autorités (Guinéennes) à rétablier le FNDC et à guarantee la liberté d’expression et d’association qui sont des droits consecrated par des conventions et traités internationaux relatifs aux droits humaans que la Guinée a Ratifiés ».
Le 8 août courant, les autorités guinéennes ont dissous le Front national pour la défense de la Constitution « pour des motifs politiques » selon des ONG telles que Human rights watch.
« Cette mesure visant le FNDC ne fera qu’affaiblir davantage la démocratie en discourageant toute opposition signifique », a declarée, dans un communiqué, jeudi, Ilaria Allegrozzi, chercheuse senior sur l’Afrique centrale à Human Rights Watch.
More Stories
les funérailles très politiques de Tire Nichols contre les violences policières
la CONFEJES pense à l’après-carrière des athlètes
Au Sahel, le fléau des médicaments dangereux pour la santé – DW – 01/02/2023