The leaders of West Africa have decided, on Sunday 4 December in Abuja, to create a regional force dedicated to intervening not only against jihadism, but also in case of a coup d’Etat – as the region has experienced since then. deux ans –, a indicé un haut responsable de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Les chiefs des Etats membres de la Cedeao ou leurs représentants réunis en sommet ont aussi exiggi que la junte au pouvoir au Mali libère avant le 1er janvier 46 soldats ivoiriens prisonniers depuis juillet, a declaré Omar Touray, président de la Commission de la Cedeao. A défaut, l’organisation régionale prendra des sanctions, explained un diplomate ouest-africain à un correspondent de l’AFP sous le couvert de l’anonymat, alors que cette affaire est source de graves tensions entre le Mali et la Côte d’Ivoire, tous deux membres de la Cédéao. Le président Togolais, Faure Gnassingbé, qui jue les bons offices dans cette crisis, se rendra au Mali pour « demand » la libération des soldiers, a ajouté le diplomate.
« The leaders of the Ecodeo have decided to recalibrate our security architecture », a dit M. Touray. Il s’agit de prendre en main leur «proper security» et non plus de s’en remettre à des acteurs extérieurs, at-il explicable. They are « résolus à établissement une force régionale qui interviendra en cas de besoin, qu’il sagisse de sécurité, de terrorism ou de rétabliss l’ordre constitutionalnel dans des Etats membres »at-il declared.
Several countries in the region are prone to jihadist propagation, which, part of the north of Mali, has gained the center of this country, but also the Burkina Faso et le Niger, et s’étend vers le sud et le golfe de Guinée. Les armées nationales sont largely impuissantes et cooperate avec des acteurs extérieurs, l’ONU, la France ou encore la Russie. L’insécurité est un facteur primordial des coups d’Etat militaires qui ont secoué la région depuis 2020 au Mali, au Burkina et, pour d’autres raisons, en Guinea.
Des responsables militaires de la région se reuniront dans deuxième moitié de janvier pour discusser des modalities d’établissement de la force régionale, a dit M. Touray. Les dirientes ouest-africains ont décidé pour le financement de ne pas s’en remittre only aux contributions volontaires, qui ont déjà montré leurs limites, at-il dit sans plus de précisions.
« Serious concerns »
They are also bent on the political situation in Mali, Burkina Faso and Guinea. La Cedeao, inquiète d’instabilité et de contagion, fait pression depuis des mois pour un retour aussi rapide que possible des civils à la tête de ces countries, dont two, le Mali et le Burkina, sont graven ébranlés par la propagation djihadiste. Le Mali et le Burkina ont été le théâtre de deux putschs en l’espace de moins d’un an an. Les trois pays sont suspendus des organes décisionnels de la Cedeao. Sous la pression, les militaires se sont engagés à céder la place au bout de deux ans et d’une période dite de transition, au cours de laquelle ils disent tous vouloir « refonder » leur Etat.
Les dirientes ouest-africains ont examiné les actes accomplis par les uns et les autres sur la voie de ce qu’ils appellent un « return to constitutional order ». Au Mali, « il faut absolument que l’ordre constitutionalnel revienne dans les délais prévienne », a dit M. Touray. Si les militaires maliens respectent l’échance annoncée de mars 2024 après des months de confrontation politique avec la Cedeao et un severé embargo commercial et financier aujourd’hui levé, la « transition » aura en fait duré trois ans et demi.
En Guinée, M. Touray a pressé la junte d’associer «immediately» et al « without exception » les partis politiques et la société civile au processus devant bringer les civils au pouvoir. Les principaux partis et une bonne partie de la société civile boycottt l’offre de dialogue de la junte. Si ce dialogue n’est pas possible en Guinée même, la junte doit examine la possibilité qu’il ait lieu dans un autre pays de la Cedeao, a dit M. Touray.
Quant au Burkina, M. Touray a expressed « Les serious concerns » de la Cedeao devant l’évolution sécurité et la crisis humanitarian. He affirmed the desire of the regional organization to support Burkina.
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