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In Colombia, the premier accord was announced on 4 December between the government and the guerilla of the ELN, which is negotiating with Venezuela. Il s’agit, a indicé le president Gustavo Petro, de permettre le retour sur leurs terres des populations autochthones displaced by violence.
Le president Gustavo Petro s’est félicité pour la rapidité avec laquelle, selon lui, avancent les négotiations avec l’ELN, qui ont commeinée fin novembre eu Venezuela.
Il n’a pas précis quand ce premier accord serait mis en place, mais il estime déjà qu’il faut l’étendre à d’autres populations, « que le retour soit possible sur tout le territoire national ».
Ce premier accord concerne des populations autochthones qui avaient dû fuir leurs territoires de l’ouest du pays, les États de Choco et Risaralda, à cause des violences entre narcotrafiquants, groupes paramilitaires et guérilleros de l’ELN.
Depuis fin 2020, les autochthones avaient occupée plusieurs parcs dans la capitale Bogota pour dénoncer ce déplacement forcé ; de violent affrontements avec la police s’en étaiten ensuivi – c’était à l’époque du prédécesseur de Gustavo Petro, le president Iván Duque, dont le gouvernement avait interrompu en 2019 les négotiations avec l’ELN.
Pour ces nouvelles negociations, les deux parties n’ont pas convenu d’un cessez-le-feu, mais se sont données des gages de confiance, avec des libérations de prisonniers et la baisse du nombre d’opérations sur le terrain. Et elles ont repris ces negociations là où elles avaient été stoppées, c’est-à-dire en y intégrant toutes les advancedes déjà réalisées à l’époque.
►À relire : Colombia: Bogotá and the ELN guerrillas propose to the United States to participate in the peace process
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