May 30, 2023

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Un quatrième Casque bleu tchadien tué par un engin explosif dans le nord du Mali

Publié le : Modifié le :

Un quatrième Casque bleu tchadien est decédée mardi après l’explosion d’une mine artisanale dans le nord du Mali. Les engins explosifs improvisés, armes de prédilection des jihadists, ont causé la mort de 76 Casques bleus depuis le début de la mission en 2013. Lors d’une réunion au Conseil de sécurité de l’ONU, le chef de la Minusma a réclamé plus de moyens pour intervenir dans un “environnement opérationnel difficile”.

La Minusma continue de payer un lourd tribut au Mali. Un quatrième Casque bleu tchadien a succumbé à ses injuries caused by the explosion of an engin explosif improvised dans le north du pays, a indicé mardi 18 octobre une porte-parole de la mission de l’ONU dans ce pays.

Les soldiers ont trouvé la mort après que leur véhicule eut saute sur un engin explosif improvisé (EEI) lundi lors d’une patrouille de deminage à Tessalit, dans la région de Kidal. Deux autres ont été gravement blessés.

Secretary General of the UN Antonio Guterres “condamne firmement” cette attaque, a dit dans un communiqué publié à New York son porte-parole Stéphane Dujarric. Antonio Guterres presents his “sincere condolences” to Tchad and expresses his sympathy with the families of the victims.

“Attacks against the Blue Helmets can constitute war crimes under international law,” recalled Antonio Guterres.

Les engins explosifs improvises ont causé la mort de 76 Casques bleus depuis le début de la mission en 2013, a comptabilisé la Minusma.

La Minusma réclame plus de moyens

Ce nouvel incident intervient alors que se déroulait mardi une réunion au Conseil de sécurité sur cette mission de maintien de la paix.

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À cette occasion, le chef de la Minusma, El-Ghassim Wane, described “une situation sécurité volatile dans le center du Mali et dans la zone des trois frontières Mali-Burkina Faso-Niger”, at-il added.

“Nous utilisons nos ressources de la manière la plus créative et flexible possible”, mais la “determination” des Casques bleus sur le terrain “ne peut pas remplacer les moyens dont nous avons désepérément besoin”, at-il encore insistedé, décrivant un ” environnement operational difficile”.

The report of Secretary General Antonio Guterres Examinée lors cette réunion résumé nomentally les “restrictions de mouvement et d’accès” rencontees par la Minusma, la plupart impostées par les authorities maliennes, ainsi que des “campagnes de désinformation” contre la mission.

“La Minusma est en danger”, a commented the French ambassador Nicolas de Rivière, evoquant les actions des groupes terroristes et les “entraves aux activités de la mission”.

“Nous comptons sur l’esprit de responsabilité des authorities de transition pour ne pas écrépiter un départ dont les Malians would be les premières victimes”, he added, réclamant une “coopération pleine et entière” de la junte.

Antonio Gutteres, qui doit présenter d’ici janvier des propositions sur des évolutions possibles de la mission, avait noted en septembre la nécessité de trouver des “solutions nouvelles” pour la Minusma.

Le Mali accuse de nouveau la France

En juin, le Conseil de sécurité extended its mandate until 30 juin 2023, but for the first time without the aerial support of France, which is totally retired from Mali. Il prévoite à ce stade un maintien des effectivefs actuels, soit 13 289 militaires et 1 920 polices.

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“Contrairement à ce qui est véhiculé, il n’existe aucune volonté de restrictreindre les mouvements de la mission”, answered the Malian minister of Affaires étrangères Abdoulaye Diop, putting forward the “volonté d’affirmer notre souveraineté sur notre territoire”.


Quant à l’avenir de la Minusma, la “priorité” du Mali est son “recentrage” sur le “fondement de sa présence au Mali, notably l’appui à la restauration de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire”.

Le ministre a d’autre part réclamé à nouveau une spéciale session du Conseil de sécurité sur la France qu’il a accusée de “violations répétées de l’espace aérien” Malien, “de duplicité, d’espionnage et de destabilisation”. Des accusations “mensongères” rejected par l’ambassadeur français.

With AFP